18 heures pour tous
«Ne pas lâcher la pression»
Depuis
plus d’un an, nous avons montré la détermination qui est la nôtre, le 10 octobre nous l’avons prouvé en nous
mobilisant pour les 18 heures. Même si le ministère refuse de nous entendre,
il nous faut continuer la montée en puissance, et renforcer encore le mouvement
pour obtenir l’ouverture de négociations.
Ne
perdons pas le bénéfice de l’action du 10 octobre et des grèves tournantes
où des centaines d’enseignants des SEGPA/EREA (instituteurs et professeurs
des écoles spécialisés et PLP) se sont fortement mobilisés pour obtenir
les mêmes obligations de service. C’est une revendication légitime. Dans
les mêmes établissements, devant les mêmes élèves, les différences d’obligations
de service ne se justifient pas.
Dans
de nombreux départements, le 15 puis le 22 et au retour des vacances de
Toussaint, le mot d’ordre « Je prends mes 18h » s’étend et s’amplifie.
L’UNSEN-CGT
a déposé un préavis de grève pour cette action.
Les
assemblées générales des établissements et des départements nous informent
de la montée du mouvement. Ne restons pas isolés, rassemblons nous, allons
à l’offensive !
Il
est de la responsabilité de tous et de chacun de gagner. C’est possible,
mais c’est tous ensemble et déterminés que nous emporterons les 18h.
Et poursuivre l’action sous des formes diversifiées.
Même si, à ce jour, l’intersyndicale nationale, qui appelle à
une grève nationale le 9 novembre met un frein à l’unité syndicale, les
syndicats CGT Educ’action, Snuipp, Sud , Sgen Cfdt de l’Ile-de-France se sont réunis le vendredi 26 octobre et ont
convenu d’appeler, dans l’unité, le même jour.